Comme Aidan, Samuel a réalisé l’année dernière un semestre à l’étranger en Corée du Sud. Il nous parle de cette expérience…
Pourquoi avez-vous décidé d’effectuer cette mobilité et pourquoi cette destination en particulier ?
J’ai voulu partir en Corée car c’était la destination la plus originale culturellement, la plus dépaysante. J’avais déjà eu l’occasion de voyager en Europe et en Amérique du Nord, mais l’Extrême-Orient m’était inconnu. Le fait également que cette région du monde ne soit pas l’une des plus traitées à HEIP m’a incité à la découvrir.
Avez-vous su vous adapter rapidement à votre nouvel environnement ?
J’étais un peu perdu le premier soir à Séoul pour choisir où manger, mais l’atmosphère est agréable en ville, on s’y sent vite à l’aise. Les premiers jours pour visiter Séoul, on n’a pas eu de grosses difficultés. Même en ce qui concerne les déplacements, le réseau de transports est similaire ; le métro est même luxueux. Les taxis ne sont vraiment pas chers. Changer d’alimentation a pu être un peu difficile, mais la nourriture est vraiment très bonne, quoi qu’un peu épicée. Le campus était très agréable avec beaucoup de vert une grande bibliothèque pour travailler.
Comment s’est déroulé votre séjour d’un point de vue culturel ?
On a bien visité le pays : Seoul, Busan, Daegu, la frontière nord-coréenne, l’île de Jaeju. Les transports ne sont pas très chers. Daegu, la ville où j’étudiais, était vraiment très vaste. Il y a beaucoup de choses à découvrir. Les montagnes autour de la ville également sont très atypiques ; il y a beaucoup de temples perdus au milieu de la nature. A l’université, il y a une association d’étudiants internationaux qui organisent des événements et des visites dans d’autres villes.
On a bien visité le pays : Seoul, Busan, Daegu, la frontière nord-coréenne, l’île de Jaeju. Les transports ne sont pas très chers. Daegu, la ville où j’étudiais, était vraiment très vaste. Il y a beaucoup de choses à découvrir. Les montagnes autour de la ville également sont très atypiques ; il y a beaucoup de temples perdus au milieu de la nature. A l’université, il y a une association d’étudiants internationaux qui organisent des événements et des visites dans d’autres villes.
Quel serait le bilan de votre expérience ?
La Corée est un pays vraiment très agréable dans lequel j’aurais envie de retourner, au moins pour voyager quelques semaines. Les habitants sont très chaleureux avec les Européens. En revanche, y travailler est une autre affaire. J’ai l’impression que pour travailler avec des Coréens, il ne faut pas vouloir compter ses heures.
Pour quelles raisons recommanderiez-vous aux étudiants d’HEIP de partir en mobilité internationale et en particulier en Corée ?
Faire un séjour à l’étranger est toujours enrichissant et permet de devenir plus autonome. Pour ceux qui recherchent un esprit vraiment différent qui allie modernité et tradition, la Corée est l’idéal.
Avez-vous une anecdote à raconter ?
L’un des premiers week-ends, on est monté avec un groupe d’étudiants internationaux sur une montagne à côté de Daegu. En arrivant au sommet, on a rencontré un monsieur assez sympathique qui était cadre chez Samsung. Il est redescendu avec nous ; on devait être une quinzaine, mais il nous a tous invité au restaurant.